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1-Les fautes de syntaxe et d'orthographe pullulent, il suffit de lire les messages placés sur le NET : il faut des "traducteurs" pour les déchiffrer, chacun écrit des sons, chacun a "son" orthographe;

2-Au plus haut niveau, les incorrections écrites ET orales sont monnaie courante;

3-Notre langue est infestée de termes, notamment anglais, qui n'ont pas à être utilisés dans la mesure où des équivalents français existent.

Bien sûr, le français s'est bâti à partir du latin et du grec, ainsi que de l'apport de nombreux mots issus de l'italien, de l'espagnol, de l'arabe... Toutes les langues occidentales ont des racines communes et se sont mutuellement enrichies, mais à négliger le bon usage des langues et les spécificités de chacune nous serons bientôt incapables de nous comprendre au sein d'une même nation. L'informatique a ses règles, sinon l'ordinateur ne répond pas. Il en est de même pour le français.

Comment expliquer qu'un enfant passe au minimum dix ans sur les bancs de l'école et ne soit pas capable, à l'arrivée, de parler et d'écrire correctement? Nos anciens, à 12 ou 13 ans étaient à l'usine, et pourtant maîtrisaient, dans leur grande majorité, les fondamentaux...

Paresse intellectuelle, snobisme? Méthodes pédagogiques inefficaces? Envahissement des médias de basse qualité? Mort de la lecture?...

C'est clair : notre belle langue française fait partie des langues mortes !

Et, sous prétexte d'un "féminisme déjanté", on se prépare à la démolir un peu plus ...

alors que les femmes de Lettres rayonnent dans notre Littérature depuis plusieurs siècles!

Il est allé à l'école jusqu'à l'âge de 13 ans , il pourrait, de nos jours, briguer une Maîtrise de français!

Prisonnier. Tout le monde sait que, le 10 mai, ce fut le déclenchement de la « guerre-éclair » promise par Hitler. Le 18 juin, désemparés, croisant des colonnes de civils qui nous gênaient dans nos mouvements, nous courrions pour défendre Épinal. Le 20 au soir, nous en étions en vue. Ça flambait là-bas : « ils » étaient déjà là, « eux », « ils » étaient motorisés ! Nous prîmes position dans un bois coupé par un champ de blé. C’est là que j’aperçus les premiers habits gris. Un gradé allemand demandait des renseignements à une villageoise apeurée : il fut descendu illico par nos armes, mais l’aviation et l’artillerie allemandes nous canardèrent et un sergent alsacien de notre groupe poussa un cri : « Maman ! Maman ! »… Il avait eu les deux cuisses sectionnées, et notre infirmière brillait par son absence… Il mourut, bien sûr. Nous nous enterrions au mieux dans des trous individuels, les branches d’arbre nous tombaient dessus, coupées par la mitraille, il faisait chaud, nous avions soif et ne pouvions nous désaltérer qu’avec le vin et le champagne trouvés dans les caves. Nous étions abrutis par ce baptême du feu… Nous avions ordre de résister jusqu’à ce qu’un contrordre, vers une heure du matin, nous enjoignit de nous retirer. Nous nous sommes repliés dans un véritable tintamarre vers la route, étonnés de ne pas être pilonnés par les Allemands. Il ne leur avait pas été nécessaire de le faire : nous étions encerclés ! Il ne nous resta plus qu’à déposer les armes dans une grange et à nous rendre. C’est ainsi que je fus fais prisonnier le matin de ce 21 juin 1940, jour de l’été. Mon camarade le caporal COMPAGNON en pleura. Nous nous rendîmes compte tout de suite de ce que voulait dire « perdre la liberté ». Et ce n’en était qu’un avant-goût. Les « frisés » - on les appelait ainsi à cause de leurs cheveux coupés courts- nous disaient : « Guerre finie pour vous, camarades ! ».

Après son décès j'ai retrouvé ses cahiers d'écolière... Voici un exemple de ce qu'elle écrivait lorsqu'elle était jeune fille...

En hommage à ceux qui ont souffert des guerres mondiales...

On peut le commander chez l'Editeur : edilivre.com ou chez l'auteur : 13, rue des bouvreuils-59350 SAINT ANDRE

Du dévouement sans limites au profit de ceux qui souffrent sur un lit d'hôpital à la rencontre avec ces populations martyres qui ploient sous le joug des canailles qui ensanglantent le monde, Louis va aussi tenter de retrouver cette enfant que la vie lui a arrachée...Des situations bien actuelles...

Prix d'Honneur de l'Académie de Provence-Préface de Maurice MERCHIER, Professeur de Sciences sociales Université de Lille

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Un hommage appuyé envers tous ces gens modestes du Nord qui ont connu les difficultés quotidiennes d'un travail ingrat, subi de nombreuses désillusions, mais qui ont toujours sauvegardé leur dignité et assumé leur destin.

Premier Accessit de l'Académie de Provence-Préface de Francis COLLET, Agrégé de Lettres modernes.

Réjane a fait "les quatre cents coups" dans le quartier du Vieux Lille. C'est une vraie terreur que, pourtant, Xavier PALOS, chômeur de longue durée ainsi que quelques personnes de bonne volonté vont arracher à la déchéance. L'Espérance va défier l'inéluctable.

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Alors que nous avons largement abordé le XXI° siècle, les civilisations s’entrechoquent, les mentalités évoluent, les « vérités » d’hier sont sans cesse battues en brèche, la « morale de papa » ne fonctionne plus. Et les générations nouvelles doivent pratiquement se reconstituer un Code des Valeurs, ce qui s’avère délicat, déstabilisant, inquiétant, on « navigue à vue » dans un monde incertain.

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avec le soutien de l'A D A N, association des écrivains des Hauts de France

En hommage à ceux et celles qui se dévouent pour nos aînés, dans les EHPAD comme à domicile...Les aides à domicile pour les personnes âgées et/ou dépendantes constituent une réalité sociale incontournable, il s'agit de poser un regard réaliste sur les conditions de travail et les difficultés rencontrées au sein de ces professions humaines, pour ne pas dire "humanistes"... D'autant plus que "vieillir" n'est pas souvent un "long fleuve tranquille".

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en hommage aux "vrais" GILETS JAUNES qui souffrent en silence en France et ailleurs et dont on se soucie peu parce qu'ils sont discrets.

Préface d'Henri LOURDELLE, Secrétaire Général de la Confédération Européenne des Syndicats

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2020 : Un roman historique proposé et offert aux collèges de Lille nord-ouest et à tous les collégiens :

pour évoquer la conduite héroïque de l'Armée française en mai 1940, dans la région lilloise, grâce à la volonté du petit LEON qui cherche à comprendre pourquoi son grand-père Maurice cherche à lui cacher pourquoi il y a eu tant de morts dans la famille...

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un roman social qui évoque une personne qui souffre d'abus, d'exclusion, que l'on exploite, qui cherche désespérément un peu de bonheur.

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''L'escalade" - roman social sur la notion de l'intégration et de la nationalité

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Ces romans de Bernard Tettelin seront proposés sous la forme numérique au profit des associations qui viennent en aide aux handicapés, aux déshérités, aux Enfants du monde en souffrance... selon les souscriptions...

"Sur le terreau de la haine" à l'occasion des 50 ans du jumelage Saint André - Dormagen

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